Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 3/4
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 3 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
il y a 5 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 5 heures
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Toujours à propos de Coriolan, il avait le défaut d’arriver 10 ans en avance, et c’est là toute la vision d’un grand créateur comme Jean Paul Guerlain. Re-senti aujourd’hui, dans un contexte ou les belles matières reviennent sur le devant de la scène, ce parfum trouverait sa place. Il est bien construit, très agréable à porter, son sillage est identifiable et ne fait pas cheap. C’est une interpretation moderne d’un accord classique mais de grande qualité, un peu comme Terre d’Hermes, qui a réussit. Mais il lui manque la petite touche vanillée qu’attend le client Guerlain !!!! Ah ah ah, problème ! Aujourdhui, le client achète le nom et oublie que Guerlain était avant tout un créateur de parfums de qualité. Comme on ne lui rappelle pas, il suffit de lui vendre de la Guerlinade ou de muscinade comme "identité" Guerlain, caricaturalement mises en avant, et ça cartonne ! Pourtant, cette fameuse guerlinade toujours présente n’était pas si évidente dans Samsara, Chant d’Arômes, Nahéma, Chamade, et ça marchait aussi ! Les temps changent !
Pour les 2 autres parfums, je ne regrette pas personnellement Globe, qui a fait son temps, mais j’aimais porter Némo, qui s’est fait dépassé par son flacon et ses cousins plus "accessibles" de chez Armani. Je m’en suis pourtant lassé !