Womanity
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 2 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 10 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
J’ai testé Womanity il y a 1 mois et comme toujours avec les parfums Thierry Muggler, j’ai ressenti un rejet violent, une sorte de claque olfactive. Parce qu’il est puissant ? Sûrement. Mais surtout parce que, comme tous les Muggler, il n’est pas conforme à ma vision classique du parfum. Résultat, j’ai jeté immédiatement la mouillette à la poubelle.
Mais avec les Muggler il faut respecter deux règles :
y revenir au moins 2 fois (ou plus)
les tester sur peau, parce que sur mouillette ils semblent ne pas évoluer (comme un instrument qui ne jouerait qu’une seule note, très fort et très longtemps), alors que sur peau, ils révèlent toute leur complexité
J’y suis donc retournée une seconde fois hier soir en passant devant le No..bé du coin. Après avoir esquivé la vendeuse, je teste.
D’abord sur mouillette : nouvelle claque olfactive, à peine moins violente. Et toujours cette réaction "ce n’est pas un parfum".
Je me lance pour un test peau et là c’est l’enchantement. Un parfum de figue très cuite et très sucrée me transporte instantanément sur une terrasse ensoleillée au petit matin, avec dans les mains une tartine de confiture de figue / pain grillé encore chaud / beurre.
Une brise marine, iodée (le fameux caviar de la formule) balaye un instant la figue. La plage n’est pas loin, j’irai tout à l’heure. Et puis, la figue revient, pénétrante, tantôt douce et confite, tantôt étrangement fraîche, comme une sieste à l’ombre d’un figuier. Et toujours cette petite brise marine, iodée, un peu piquante, qui souffle par à coups.
Bref, hier soir je suis partie en vacances et je crois que je vais y rester tout l’été.