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Voleur de Roses

L’Artisan parfumeur

Flacon de Voleur de Roses - L'Artisan parfumeur
Les Classiques
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Rose subtilisée

par Phoebus, le 17 juin 2010

Sentir un parfum ancré au rayon homme qui évoque sans complexe une allure féminine, ça ne court pas les étagères. Mais c’est pourtant le cas, chez l’Artisan Parfumeur, du Voleur de Roses qui dérobe la fleur emblématique des parfums féminins pour notre plus grand bonheur.

Tout commence par un verre de vin, accompagné de quelques prunes à peine sucrées. La première impression est donc légèrement fruitée, entêtante et tourbillonnante, mais davantage dans le genre fruits confits, secs et liquoreux à la Lutens que bonbon fruité à la Paco Rabanne. On à affaire à quelque chose de noble, on s’en rend compte dès les premières notes, sans doute à cause de cet effet surprenant de vin rouge… On admire la robe, bordeaux, soyeuse comme une étoffe. On ferme les yeux, et on sent le bouquet. Cela devient intéressant.

Bien qu’ici, il s’agirait plus de rosier en terre que d’un bouquet dans un vase, très vite on aperçoit cette rose écarlate se distinguer de l’ensemble, pure et sombre à la fois. On ressent très bien le velouté des pétales, et surtout la couleur rouge qui domine dans notre esprit. Avec l’arrière-goût du vin sur la langue, cette rose nous parait presque sanguine, et c’est là qu’on bascule dans une sorte de chaud-froid assez fascinant : le parfum prend une intensité presque bipolaire sur la peau, et si cela peut paraître étrange et dérangeant au premier abord, on s’y habitue très vite (j’en suis moi-même arrivé au stade de quasi-dépendance !). L’accord résonne, sur le poignet, entre la douceur de la rose fraiche et l’aspect boisé-terreux-sec du parfum. Le patchouli, le bois de teck, l’ambre et les muscs donnent un rendu de terre fraiche et sombre qui se prolonge jusque dans les toutes dernières notes (et pourront évoquer à certains un épais tapis de feuilles mortes et humides). Mais en réalité, il n’y a que nous qui pouvons sentir cette bipolarité, car bizarrement, dans le sillage, c’est plutôt quelque chose d’uni qui se dégage. Quelque chose de languissant, de velouté, d’assez léger qui nous précède comme une longue écharpe rouge en soie.

Qui est donc ce Voleur de Roses, tapi dans la terre fraiche ? A qui est-il destiné ? A la fois masculin et féminin, chaud et frais, sombre et lumineux, aérien et terreux…. C’est le parfum qui réunit les contraires. Mais même si son instabilité est contrôlée jusqu’au bout, il ne peut m’empêcher de penser à des personnes aussi charmantes que dangereuses ; un agent secret en costume italien qui danse le tango avec sa pire ennemie, une rose dans la bouche, un flingue dans la poche… Ou encore une courtisane masquée, au Carnaval de Venise, qui sourit de toutes ses dents en tendant un verre de vin empoisonné à son ancien amant, par rancune amoureuse…

Qu’on se le dise, les roses ne seraient certainement pas aussi fascinantes sans leurs épines !

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par Tibo, le 23 novembre 2016 à 08:00

Pas pour moi ! Le coté liquoreux de ce parfum m’écœure ! Au premier essaie c’est clairement à du vin que fait penser ce parfum... Je ne l’aime tellement pas que j’ai du mal à concevoir qu’on puisse porter ça ! J’imagine même pas par période de forte chaleurs...
Le trouvant plus féminin j’ai donné l’échantillon à ma mère. Elle m’a dit qu’elle a été obligée de se laver le bras à plusieurs reprise tellement elle n’accrochait pas non plus !

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Doblis

par Doblis, le 15 mars 2015 à 23:51

Voleur a été mon premier parfum de L’Artisan Parfumeur.
Pas forcément un coup de foudre immédiat, mais une obsession sur la durée en ressentant la touche parfumée.
Ce parfum a, pour moi, le mérite d’être très reconnaissable, intrigant, bourré de charme.
Pourtant, actuellement, il m’est difficile de le porter.
Et je ne sais pas pourquoi, je l’associe toujours à la pluie. Mais certains ont évoqué l’humidité alors je ne suis pas le seul.
Très belle création en tout cas, un indispensable

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Amédée

par Amédée, le 16 août 2014 à 22:08

Voleur de Roses possède t-il une quelconque ressemblance avec Déclaration d’un Soir ?
L’impression de vin rouge millésimé semble commune aux deux créations.
Ne risquent-elles pas de faire double emploi dans une coiffeuse ?

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par Hermeline, le 16 août 2014 à 22:55

Bonsoir Amédée,

À mon nez, les deux sont très différents, Déclaration d’un soir est plus boisé, plus rond. Si je devais faire un rapprochement entre Voleur de roses et un autre parfum cela serait avec Une Rose pour le côté vineux. Donc vous ne risquez pas le double emploi, les rendus sont distincts et le meuble ne protestera pas.

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par Amédée, le 16 août 2014 à 23:10

Merci Hermeline d’avoir pris le temps de me répondre.
Il ne me reste plus qu’à trouver la critique d’Une Rose, qui semble se rapprocher des qualités de notre sujet. In Vino Veritas…

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PoisonFlower

par PoisonFlower, le 19 avril 2013 à 22:55

Ce parfum ressuscite un souvenir d’enfance...

 

Mon père connaissait un livreur qui travaillait pour une petite entreprise spécialisée dans la fabrication de meubles en merisier. Un jour où ce monsieur nous livrait un meuble, je ne pus m’empêcher de me faufiler dans le camion en petit curieux que j’étais : à l’intérieur, les meubles aux teintes rougeoyantes exhalaient une odeur fascinante, quelque peu liquoreuse et fruitée, de bois neuf et ciré tout juste sorti de l’usine que m’a tout de suite rappelée Voleur de roses la première fois que je l’ai senti...

 

En le respirant, c’est plus fort que moi, je me revois en train de déambuler à travers les chaises, fauteuils et autres buffets avec cette envie de rester suffisamment longtemps dans le camion (c’est-à-dire en me faisant assez discret pour que mes parents ne me prient pas trop tôt de déguerpir !) pour m’enivrer et m’imprégner du parfum que dégageaient ces meubles !

 

Un bel accord rose/patchouli, très masculin/féminin (décidément, les masculins ne m’intéressent vraiment que quand ils assument une large part de féminité !), aussi rugueux que délicat, et mon patchouli préféré avec Mon parfum chéri, car oui, le patchouli, je le préfère chypré, quand il se fait boisé et/ou oriental, il m’inspire moins.

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baron.de.la.brède

par baron.de.la.brède, le 4 août 2012 à 18:25

c’est le seul flacon à base de rose que je suis tombé d’accord. Unisexe on s’entend. J’ai adopté Chanel Allure pour homme pour la rentrée. J’ai aussi entendu le grand flacon YSL en vente en Amérique ...

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amalia

par amalia, le 24 février 2011 à 23:53

Je viens de tester Voleur de Roses, l’alliance surprenante de la reine des fleurs et d’un bon cru, ponctuée par un patchouli justement dosé.
Alors que Portrait Of Lady est entêtant et crissant (selon moi) je trouve Voleur de Roses velouté et pondéré avec une petite note acide pour l’originalité.
.
Contrairement à Aktarus, on ne me voit pas le porter, moi je dis pourquoi pas.

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par aktarus, le 9 novembre 2010 à 00:05

Difficile pour moi de donner un avis raisonné sur ce parfum... le premier que j’ai porté de l’artisan, et un véritable choc olfactif !

Je vous rejoins sur l’impression "vineuse" (plus que le verre de vin, il m’évoque la cave et ses fûts), ainsi que sur l’aspect chaud/froid troublant... j’ajouterai l’évocation évidente pour moi de sous-bois humide, tapis de feuilles mortes, et si j’ose aller plus loin dans l’imaginaire, je "sens" un ciel noir chargé de pluie, et un cimetière, verdoyant à l’anglaise, dont les pierres tombales abandonnées se laisseraient envahir par la végétation, les ronces, et un rosier hirsute revenu à l’état sauvage. Sombre et mélancolique, mais aussi doux, apaisé et silencieux. (Pensez à la chanson "prière pour aller au paradis" de Marie Laforêt, les roses dont nous parlons auraient-elles été volées pour être déposées "près de la tombe abandonnée de Laura" ?...)

Au-delà de cette envolée lyrique, autre chose me lie à ce parfum, que je formulerai d’une manière qui pourra paraître un peu péremptoire : il me va. Très bien. Vraiment. On me l’a dit, souvent, à commencer par la vendeuse dans la boutique de l’artisan qui me faisait sentir différentes fragrances et qui trépignait presque en guettant ma réaction quand viendrait le tour de Voleur de roses. Apparemment c’était une évidence pour elle dès qu’elle m’a vu passer la porte. Drôle de rencontre non ? En tous les cas une vraie découverte, car même si mon nez aime également d’autres senteurs, ce voleur de roses est devenu un ami intime, quand je le porte je suis moi, sans aucun doute.

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Jicky

par Jicky, le 2 juillet 2010 à 20:30

Gentleman cambrioleur ou Don Juan vexé par sa maitresse ? Non, pour moi Voleur de Roses c’est un très beau nom, mais qui s’associe plus à l’image de tueur discret qu’à celle du "vilain irresistible" type Clyde Barrow.

 

L’ouverture est... tranchante dira t-on : une lame d’épée longue, type escrime. C’est d’un côté métallique, mais aussi assez odeur de sang (qui a une odeur de fer, vous trouvez pas ?). C’est aigû, mais un peu sec aussi. On sent aussi un peu la rose, qui va s’intensifier au fil du temps et je sens comme une note fluide dont je ne saurais mettre de nom.

Le deuxième alibi est sous le signe de la rose très très aigue, piquante (les épines Phoebus !) et l’aspect fruité style mûre puis figue un peu non ? Dans l’aura d’un Premier Figuier en moins rond. Et plus métallique. Et là pour le coup je sens l’aspect alccol.Mais au risque de vous decevoir, au diable le Chambertin, ou le Sauterne. Mois je vois juste de l’alcool médicinal à 90 degrès que l’on sert pour désinfecter.

C’est cet aspect là que j’aime pas trop, ça personnalise le parfum, lui donne une belle signature, mais c’est un peu écoeurant.

Puis le fond est très beau je trouve. Je retrouve une note de cèdre une touche de patchouli, de résines qui donne un tout très typé Don Juan et, je confirme, Carnaval de Venise. Le tout dans une ambiance Hercule Poirot : le curare versé délicatement dans le verre de vin de la dame au masque d’hirondelle au fond de la salle de bal...

Je trouve le tout aussi très caoutchouteux, un peu comme le pneux chauffés par le meutrier fugueur inconnu...

 

Le voleur est devenu meutrier !

 

Vive l’odorat !

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par Phoebus, le 4 juillet 2010 à 15:43

Mmmmh, j’ai l’impression que tu as écris ton avis juste après l’avoir sentis pour la première fois. (parce que ça me rappelle ce que je pensais au tout début).

Au départ, je n’aimais pas du tout Voleur de Rose, j’étais même déçu de ne presque pas sentir de rose du tout. Et puis il y avait quelque chose de dérangeant en sourdine... Ensuite, à mesure que mon échantillon se vidait, j’en devenais quasiment accro ! Ce qui était dérangeant est devenu addictif, et la rose que je peinais à sentir au début est devenue soudain très évidente (car elle se refuse d’être "vraie" ou ’naturelle", elle est juste très concentrée et ciselée pour évoquer la rose mais de manière originale).

 

Mais il y a une différence entre sentir Voleur de Rose de près, et le sentir sur quelqu’un. Comme ça, en le sentant sur le poignet, il n’a pas l’air "facile à porter" mais en fin de compte, il projette une atmosphère fraiche et agréable autour du porteur (qu’on a du mal à soupçonner ! Quand je vous disait que ce parfum est très "double-jeu"...).

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par Jicky, le 4 juillet 2010 à 18:30

Je le connais pourtant depuis pas mal de temps ce parfum ! Et s’il ne me plaisait pas, je l’aurais dit, et je n’aurais pas les quatres aubergines en forme d’étoile ;)

 

Le seul truc dérangeant est par moment cette évocation médicinale, mais je trouve que ça fait parti de ce parfum, et que cela ajoute à son charme :D !

 

Vive l’odorat !

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Phoebus

par Phoebus, le 18 juin 2010 à 13:05

Eh bien justement je l’ai porté ce matin pour me donner du courage, et je crois que je vais réutiliser mon échantillon pour toutes les autres épreuves ! (j’ai car-to-nné en histoire je suis super content !).

Jeanne, j’ai absolument rien à redire, vous avez fait des changements pertinents, c’est plus clair comme ça ! =)

 

Dau, maintenant que vous y faites référence, ça me rappelle la chanson du vieux dessin animé d’Alice de disney "painting the roses red" (les cartes qui font ça pour pas se faire couper la tête par la reine de coeur !).

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par dau, le 18 juin 2010 à 20:00

Un bel avis sur un parfum que j’aime plus un joli score en histoire : BRAVO ! bis bis bis

(et pour la petite histoire, j’ai l’agrégation en Histoire ! Et zut, je commence aussi à raconter ma vie...)

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par Phoebus, le 18 juin 2010 à 20:40

Ah ben non justement, raconte ! J’ai une copine qui adore l’histoire, mais ses parents veulent pas la laisser aller en fac parce qu’ils pensent qu’il n’y a pas de débouchés ! (et j’avoue que moi non plus je ne vois pas trop ce qu’on peut faire avec des diplômes d’histoire exactement !).

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par dau, le 18 juin 2010 à 21:16

Ben... à part prof, il n’y a pas grand chose. Du coup, je suis fonctionnaire et ça n’a rien à voir, mais j’ai préféré ça à des études qui ne m’intéressaient pas du tout : je trouve que c’est des supers études et qu’on y apprend vraiment beaucoup de choses : le sens critique, la recherche etc. Simplement, en dehors du monde universitaire, tout le monde s’en fout plus ou moins, hélas ! Mais bon, ce n’est pas très au parfum ça !

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Thierry Blondeau

par Thierry Blondeau, le 17 juin 2010 à 17:22

C’est bien parce qu’il cultive le mystère et qu’il n’est pas facile à saisir que ce voleur de roses dégage tout son charme. Un très bel article Jeanne, bien inspiré par ce qui est sans aucun doute un de mes parfums préférés. Fascinant ! Qu’on se le dise !

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par Jeanne Doré, le 18 juin 2010 à 21:08

Merci Méchant Loup, mais ce n’est pas moi qu’il faut féliciter, c’est Phoebus, l’auteur !

Moi,je n’ai changé que deux-trois mots et une virgule...

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par Méchant Loup, le 19 juin 2010 à 06:36

J’avais bien compris, mais il ne l’aurait pas fait sans vous ! En effet, j’aurais du féliciter aussi l’auteur. Merci Jeanne et Phoebus, futur auteur en herbe pour ce bel article. Et entre nous, comme il est rassurant de voir un public jeune s’approprier ces parfums !

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