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Le Mimosa

Goutal Paris

Flacon de Le Mimosa - Goutal Paris
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Pompon de pêche

par Jeanne Doré, le 28 mars 2011

Personne ici n’est vraiment amateur de parfums fruités, c’est un fait.
Mais quitte à faire du fruité, alors autant que ce soit réalisé par des parfumeurs doués et inspirés.
Lorsqu’Isabelle Doyen et Camille Goutal cherchent à explorer les coulisses du mimosa, elles ne choisissent pas le chemin facile et attendu, celui du petit pompon jaune poudré et baumé que l’on adore tous. Non, elles sont allées débusquer, allez savoir où, une dimension fruitée dans la fleur, qui domine ainsi leur dernière composition, Le Mimosa d’Goutal Paris.
On parlait ici récemment des différents critères pour élaborer la critique d’un parfum, dont faisait partie l’effet de surprise. Si l’on ne passait pas sa vie à lire les blogs de parfums, et donc, à savoir déjà ce que tout le monde pense sans avoir senti (souvent même avant la sortie officielle) on serait réellement surpris par ce Mimosa, qui n’en est certainement pas un, d’un point de vue figuratif. Un autre critère est bien sûr le style, l’esthétique, qui sera certes toujours plus subjectif, peut-être lié cependant à une certaine culture, une connaissance, un vécu, mais aussi surtout à une sensibilité, une réceptivité qui nous est propre.
Et c’est ici que ce Mimosa est troublant, car si on applique l’équation : « je n’aime pas les parfums fruités donc je n’aime pas ce Mimosa », on se censure d’avance et on s’interdit de ressentir un potentiel plaisir. Si à l’inverse on se dit « j’aime tout ce que fait isabelle Doyen, donc j’aime son Mimosa », on prend le risque inverse de ne plus avoir d’esprit critique et on perd sa crédibilité !
Ma position se résume finalement au sourire étonné, mais clément, que me procure ce Mimosa. Son fruit jaune prépondérant, entre nectarine, pêche de vigne, et mangue mûre me surprend, ne me séduit pas franchement, même si pour un fruit, il est loin d’être déplaisant. Des facettes soufrées, vertes et lactoniques s’entremêlent avec une innocence et une candeur enfantines, plutôt joyeuses. On peut voir en plissant le nez ce fil conducteur entre la matière veloutée de la pulpe charnue des fruits mûrs, et le poudré légèrement gras et miellé de la fleur. La bergamote, très présente, constitue aussi un lien avec la mangue, par le linalol qu’elles contiennent toutes les deux, et qui apporte cette fraîcheur incisive, aromatique, presque piquante.
Le parfum est assez linéaire, sa fraîcheur persistant assez longtemps, pour dévoiler ensuite des notes plus poudrées et boisées, douces et crémeuses, qui rejoignent davantage l’idée que l’on peut se faire de cette fleur, mais toujours à distance.
Alors non, ce Mimosa ne sent pas le mimosa, il ne plaira pas à tout le monde, mais s’il pouvait se substituer aux Miss Dior Chérie, Nina, Jeanne Lanvin, etc... comme cadeau d’anniversaire pour les lolitas en mal de chupa chups, qui apprécieront sans doute ce « fruitiflore » à sa juste valeur, ce sera toujours ça.

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Farnesiano

par Farnesiano, le 31 octobre 2013 à 19:42

Hier soir, pour aller au ciné et oublier le froid qui tombait sur la ville, je voulais un parfum doux, confortable, moelleux mais, pour une fois, léger. Le Mimosa de Goutal au poignet gauche, Mimosa pour moi de L’Artisan sur le droit et un pschitt de L’Eau d’Hiver sur mon écharpe. Je n’ai cessé de me sentir pendant la projection, me demandant quels liens liait ces trois parfums et surtotu lequel jouait le mieux le rôle que je leur avais attribué. Eh bien, c’était le Goutal que je redécouvrais émerveillé. Il est doux, cotonneux, un peu mou même avec ses notes peu évidentes et au final pas trop mimosa, mais si délicatement boisé, si étrangement jeune maman caressante et un peu ronde, que je lui attribue 4 étoiles. Sur la peau, il s’épanouit et oscille entre fraîcheur et douce chaleur. Etrange...Ruez-vous sur les flacons restants : il est supprimé, en Belgique en tout cas, tout comme l’opulent et troublant Mon Parfum Chéri (en EDT, meilleure à mes yeux que l’EDP pcq plus facettée, plus riche et tout aussi boudoir). Supprimés aussi L’Eau du Fier, La Myrrhe Ardente et Musc Nomade. Et vogue la galère ! Vraiment désolant ! farnesiano

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par Jicky, le 1er novembre 2013 à 05:43

Peut être, mais Gravity c’est bien <3

*s’envole*

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par Farnesiano, le 1er novembre 2013 à 10:34

Gravity, c’est bien mais en ce moment, je préfère léviter " derrière le candélabre "... Et hop !
Le parfum ? En 3D, bien évidemment !

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par maena, le 17 février 2013 à 22:53

Je ne donne pas de note car je n’ai pas encore pu sentir ce Mimosa.

Simplement j’ai eu une frénétique envie (ou besoin ?) de mimosa pour passer cet hiver.
Mon WInterFlower by Kenzo se vide et n’est pas remplaçable car introuvable.

Alors je me suis tournée vers les soliflores. Je découvre qu’Yves Rocher, l’Occitane et Annick Goutal en propose.
Et là, déception sur déception :
- arrêté chez Yves Rocher
- arrêté chez l’Occitane : j’ai pu emporter une paillete de feu le Mimosa de l’Esterel du dernier testeur : un RAVISSEMENT !!!
- Annick Goutal : LE MIMOSA n’est même plus proposé sur le site de la marque. J’ai lu que Folavril et Eau du ciel était arrêté mais à ce jour ils sont toujours en vente sur le site alors que le Mimosa NON !!!

C’est quoi le problème avec le mimosa ?
Alors que selon certaines sources sa prolifération menacerait l’écosystème de l’Esterel.

Quelqu’un a t’il une explication ?

Suis-je encore une fois complètement à contre courant comme à mon habitude ?
Je ne le fais pourtant pas exprès. Je ne fais que suivre mon nez :-)

A bientot de vous lire

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par Mado33, le 17 février 2013 à 23:14

Hello,

Il y a bien celui de Fragonard mais je ne le connais pas. La marque vient de sortir le muguet et a d’autres références. Fragonard, j’aime beaucoup pour certains parfums, à voir peut être pour le mimosa ?

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par François, le 18 février 2013 à 01:46

Bonsoir Maena,
Je ne l’ai pas senti encore, mais il y a bien le Mimosa pour Moi de l’Artisan Parfumeur. Je pense que ça vaut la peine d’aller le découvrir dans votre situation :)

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par catfat, le 18 février 2013 à 10:08

Je ne peux qu’appuyer François, j’ai offert Mimosa pour moi à ma mère l’année dernière et elle l’adore. Il est très doux, très poudré, très réconfortant... Sylvaine Delacorte en a fait une très jolie revue sur son blog Esprit de parfum.

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par maena, le 18 février 2013 à 11:49

Merci pour vos réponses.
Je me souviens avoir testé le Mimosa et Moi de L’artisan Parfumeur mais je m’étais éloignée de cette marque en raison de la mauvaise tenue générale et après une discussion chez Maitre Parfumeur et Gantier ...

Je vais donc tenter de découvrir Fragonard.

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par lolo, le 19 février 2013 à 17:07

Bonjour,
Avez-vous tout simplement essayé le nouveau Champs Elysées de Guerlain, son mimosa tout frais pointe bien son nez...il pourrait vous plaire...

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par François, le 19 février 2013 à 17:53

Salut lolo,
Pour avoir senti Champs Élysées de Guerlain sur touche, j’ai découvert une odeur d’amande telle que celle dans mon shampoing ce qui m’a énormément rebuté.
Je ne conseillerais pas ce parfum autour de moi pour le moment.
Ou alors j’ai vraiment, mais vraiment très mal senti :)

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par lolo, le 19 février 2013 à 19:46

Vous m’étonnez François.
L’amande non je ne la sens pas, mais la promenade sous le mimosa en fleurs (ils le sont tous chez moi depuis déjà quelque temps) là oui... Bien sur il n’est pas soliflore mais c’est un parfum vif et brillant ...enfin..les nez jouent parfois de drôles de tours et cela dépend aussi de ce que l’on a senti avant..attention aux mégastores des parfums !
Refaites un essai sur peau et le nez au calme.

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par François, le 19 février 2013 à 23:18

Promis, je ferai un nouvel essai et vous tiendrai informé.

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par Jick, le 25 avril 2011 à 22:01

Je trouve que Le Mimosa sent bon, même si personnellement il ne me convient guère, à cause de son coté très sucré. Par ailleurs, je trouve qu’il a peu de résonance.
Je profite de cette discussion pour vous demander votre avis sur mangrador de la même marque. Quelqu’un le porte-t-il ? Je suis toujours en quête d’un second parfum et celui-ci m’a touché. Assez bizarrement, parce que sur le papier je ne l’aurais jamais choisi...

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par dau, le 26 avril 2011 à 11:23

Moi, j’ai testé la Mandragore en échantillon et j’aime beaucoup. C’est la première fois qu’une senteur franchement anisée réussi à me plaire. Même si toutes les fragrances Goutal ne me plaisent pas forcément, je pense qu’il n’y en a aucune de ratée. et c’est vraiment une maison ou on sait faire quelque chose de fin et qualitatif avec des accords déjà employés ailleurs. (Comme ce mimosa-pêche, dans le fond, qui pourrait être un tel beurk signé Dior) Goutal a vraiment le chic pour les bons dosages et la subtilité. La Mandragore évite complètement de faire eau aromatique tout en étant une eau aromatique super facile à porter. C’est un peu le contraire de l’Artisan qui rend facile le difficile, ici, on rend raffiné le basique et classique le modasse : du grand art.

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par Jick, le 26 avril 2011 à 21:59

Merci pour votre commentaire. Je ne savais pas que mandragor se classifiait comme une eau aromatique ... Là où je le trouve intéressant, c’est que son côté citronné revêt une belle intensité qui, justement, donne du corps au parfum sans l’alourdir pour autant. Et, le terme de "citronné" n’est pas si bien choisi, puisqu’en réalité, c’est bien plus qu’un parfum de citron. Vous ressentez l’anisé, où je perçois davantage le gingembre ... intéressant en tous les cas.

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par dau, le 27 avril 2011 à 07:42

Mandragore n’est pas facile à classer...

Il est plus complexe qu’il ne parait au premier abord. Essayez aussi Mandragore Pourpre nettement plus capiteux avec ce même coté aromates-anis (peut-être gingembre pour vous) en départ. (mais moins citron) Sentir les deux en même temps est intéressant pour comparer et dégager ce qu’ils ont en commun. Je ne sais pas de votre coté, mais ma boutique Goutal est généreuse en échantillons, demandez à essayer comme ça.

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par Phoebus, le 28 avril 2011 à 20:08

entre Jick et Jicky on risque de s’y perdre !

 

Je ne connais pas Mandragore, mais j’ai un échantillon de Mandragore pourpre que je porte beaucoup ces temps ci. Je le trouve vraiment intéressant parce qu’il a un côté poivré mêlé à une espèce de fruit rouge que j’identifiais comme du cassis jusqu’à ce qu’on me dise "myrrhe !". C’est comme un mix des genres entre ce qui se fait dans le masculin et le féminin mainstream actuel.... Et pourtant, dans la gamme il ne paie pas de mine comme ça, un peu en retrait...A découvrir donc !

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par nez-lik, le 30 avril 2011 à 10:00

Mandragore, c’est le premier parfum de niche que j’ai acheté (il doit bien y avoir 3-4 ans maintenant) !!

 

Il est assez original, une ouverture bergamotte-gingembre-menthe-anis qui dit clairement "He hé hé, tu me prenais pour un hespéridé ou un aromatique ? Je t’ai bien eue !!!". C’est frais, enlevé, dynamique ! Et puis viennent les notes aromatiques et boisées qui font un peu "brouet de sorcière", et donnent une densité certaine à ce parfum, sans jamais complètement se départir des notes de tête.

 

Il est assez espiègle, finalement, ce Mandragore. Moi j’aime beaucoup, surtout en eau de parfum pour garder sa densité. L’eau de toilette trop évanescente à mon goût, et je trouve qu’on passe un peu à côté du chaudron de la sorcière dans cette concentration...

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par etiennesuper, le 20 avril 2011 à 15:17

Un parfum charmant et sans prétention. Comme beaucoup, je ne retrouve pas vraiment l’odeur du mimosa mais plutôt celle d’une salade de fruits aux accents de pêche blanche mais finalement pourquoi pas ? Ca reste "naturel", lumineux et printannier et donne envie en cette saison ! J’espère juste que la marque osera sortir quelque chose de plus original la prochaine fois car "Le Mimosa" ressemble un peu trop à "Petite Chérie" à mon goût.

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par Ramona, le 14 avril 2011 à 22:17

Etant sur Paris le week-end passe, j’en ai profite pour decouvrir au Galeries, quelques parfums, dont ce Mimosa. Je le trouvais beau, mais je ne l’aurais pas achete si mon homme ne l’avait pas adore sur ma peau. Il ne pouvais pas s’arreter de renifler mon poignet et de me dire que c’est tres sensuel :))
Depuis, je l’utilise avec un grand plaisir, mais je suis tres decue car il n’a vraiment pas de tenue sur ma peau.Je me parfume le matin et a midi il n’y a plus rien, comme si je n’en avais pas mis.
(desolee pour le clavier anglais :)

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grand'ourse

par grand’ourse, le 12 avril 2011 à 06:52

Premier acte, je pars sentir le Mimosa le mois dernier : touche parfumée+bras.
Mon nez instinctif, qui fonctionne à l’emporte-pièce, me dit : salade de mangue + une herbe qui n’est pas la menthe mais qui donnerait un peu le même sensation au palais (ça gêne un peu, autant que ça réveille la saveur du fruit). J’en reste là alors, ayant bien conscience que tant que mon nez ne sera pas éduqué, je continuerai à lire vos commentaires pour "comprendre" en plus de ressentir.
Deuxième acte, pause macaron samedi : j’essaie nécessairement les nouveautés, dont un mimosa. Et là, énorme, même sensation (goût+rétro-olfaction) que le Mimosa de Goutal !
Et là, tilt, prise de conscience : j’ai les mêmes tendance en parfum qu’en alimentaire et pire, je range, partiellement au moins, de la même façon : le jaune, le fumé, le violet, etc.
Objectif du jour : reprendre des macarons, et essayer de voir si cassis, c’est l’Ombre dans l’Eau et/ou Magie Noire, réglisse c’est Jeux de Peau, etc.
Attention, il va s’agir d’être méthodique, mais je ne lâcherai rien, je suis motivée. Vous pouvez constater que je recule devant aucun sacrifice pour la cause parfumée ;)

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Phoebus

par Phoebus, le 2 avril 2011 à 21:11

Je ne l’ai sentit qu’une fois en passant, un jour, j’ai gardé la mouillette et je l’ai trouvé délicieux du début à la fin (de plus il a l’air d’avoir une excellente tenue, c’est un bon point supplémentaire). Il se distingue très nettement de Petite Chérie (en restant tout de même dans le même esprit et le même public cible). Là où ça peut éventuellement coincer, c’est dans la dose de sucre, qui se trahie déjà sur mouillette (et qui sur peau, risque donc de prendre des proportions surprenantes sur certaines personnes).

 

Mais attaquons nous au grand problème que pose ce parfum : son nom. C’est une véritable publicité mensongère. Alors oui, oui, interprétation du mimosa, oui, oui, évocations visuelles de la fleur... C’est bien beau tout ça, mais c’est un peu se compliquer la vie de vouloir reproduire en parfum ce qu’évoque l’image d’une fleur de mimosa en utilisant le parfum d’un fruit (vous me suivez ?). Autant j’ai trouvé l’association une fleur+un fruit judicieuse pour le soliflore Jasmin et la rose de quel Amour !, parce que ça permettait habilement de détourner l’évocation de papier toilette et autres désodorisants (qui ne manquent pas de hanter certains soliflores de beaucoup d’autres marques).... Mais pour le mimosa ?? C’est une fleur dont l’odeur reste encore assez noble, pas (ou peu) utilisée en parfumerie fonctionnelle, donc la maison avait le champs libre pour faire un joli soliflore, on est d’accord....

 

Enfin, assez parlé de choses inutiles (on reproche aux concours de se baser sur des critères autres que le parfum, comme la campagne de pub ou le flacon, et au final nous on chipotte sur le nom, on n’est pas mieux !). Je ne lui donne pas de note avant de l’avoir testé sur peau, mais il aura certainement entre 2 et 4 étoiles, ça c’est sûr.

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par Jick, le 25 avril 2011 à 22:05

Personnellement, j’ai de la peine à y sentir un début et une fin ... C’est ce que je voulais dire plus bas avec les termes de "peu de résonance".

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par eh-andy, le 30 mars 2011 à 16:02

moi je maintiens qu’il est un peu trop sucré-bébé et comme Dau, je perçois un esprit girly derrière ce parfum qui ne me convient guère ! Et je maintiens que le mimosa de fragonard, outre qu’il soit infiniment moins cher, infiniment plus réaliste, mais dans un flacon infiniment plus laid, est beaucoup plus agréable à porter. Mimosa pour moi de l’A.p est également, je trouve, en termes de mimosa, une bien meilleure référence !

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dau

par dau, le 29 mars 2011 à 08:54

Je l’ai senti très vite et l’ai trouvé bien fait, plus pêche bain mousse ou yahourt que bonbon, ce qui est une bonne chose. Séduisant dans son genre, mais un peu superflu et dispensable pour la ligne Goutal qui a déjà Petite Chérie. On est vraiment dans le même univers, le même public et Petite Chérie est quand même mieux. Cet univers-là, ce n’est pas trop le mien. Il y a peut-être une foule de personnages qui cohabitent en moi et se manifestent via le parfum, mais la girly girl manque à l’appel.

 

Mais en même temps, c’est vrai que ça fait aussi totalement partie de l’univers de la marque ce coté jeune fille en fleur un peu fruitée et que c’est hyper qualitatif et de bon goût comparé à la petite pouffe de base qui se ballade dans les autres marques. Et finalement, ça me rend la marque de plus en plus chère : elle est "à la mode" peut-être, "commerciale" parfois dans sa démarche, mais il n’y a jamais de trahison, c’est vraiment un exemple de création et marketing associé intelligemment et dans le respect du consommateur.

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Farnesiano

Farnesiano

a porté Le Mimosa le 15 novembre 2019

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :

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