Auparfum

Cerruti 1881 Edition Blanche, hommage à l’Italie

par Eléonore Beurnier, le 22 mars 2015

Pour fêter les 25 ans du parfum iconique de la marque Cerruti, Cerruti 1881 Edition Blanche en réinterprète la partition originale.

"Plus qu’une édition limitée, ce nouveau parfum est un hommage qui livre une version actuelle et plus fraîche, respectueuse de l’élégance intemporelle, de l’authenticité et de la tradition de Cerruti.”.

La version masculine, imaginée par le parfumeur Lucas Sieuzac, “s’inspire d’un paysage en bord de mer, quelque part dans l’Italie du Sud, une campagne balayée par un vent frais printanier”, tout en préservant le socle olfactif de la lavande et de la mousse de chêne originelles du parfum Cerruti 1881.

Le parfumeur amène en tête la mandarine de Calabre, la bergamote et la feuille de menthe, puis s’inspirant de l’esprit « barbier » de la parfumerie masculine, il imagine un cœur de lavande et de romarin accompagnés de notes de cassis et de figue. Le fond - à base de mousse de chêne, de cèdre et de patchouli - respecte la signature ambrée boisée de Cerruti 1881.

La version féminine de Cerruti 1881 Édition Blanche est interprétée par la parfumeur Annick Menardo, et ”irradie d’un cœur de mimosa du Sud qu’on imagine cueilli sur le massif de l’Estérel, ponctué d’héliotrope. La vanille voluptueuse et les muscs blancs poudrés ajoutent la touche charnelle de ce parfum plaisir.”

Dessiné par Serge Mansau, le flacon de Cerruti 1881 est devenu une référence du design de la marque. Pour cette édition anniversaire, la bouteille blanche et opaque s’inspire d’un mur blanchi à la chaux, si typique des maison du pourtour méditerranéen, devant lequel pose alanguie l’égérie de la marque, Thomas Dutronc.

Disponibilité en avant-première chez Marionnaud et dans les parfumeries agréées Cerruti à partir du 1er avril 2015.
Eau de toilette Cerruti 1881 Edition Blanche
100 ml - 72 euros pour homme
50 ml - 62,50 euros pour femme

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euskalpyth

par euskalpyth, le 23 mars 2015 à 11:09

Bon, y’a deux choses qui ne me plaisent pas trop, dans cette nouveauté (en me basant uniquement sur la lecture de cet article et sans l’avoir encore senti) :

- les notes, qui a priori ne sont pas trop ma came (je n’aime ni la menthe, ni le cassis, ni la figue et pas trop la lavande :-(

- le nom, que je trouve étrangement copié sur la plus belle tarte au citron meringuée de tous les temps (le Chanel Allure homme édition blanche)...
D’un autre côté, pour une fois qu’un parfum ne place pas "noir" ou "black" dans son nom, on va dire qu’on n’est jamais content... ;-p

MAIS comme le Cerruti 1881 bella notte pour homme a été, pour moi, la plus belle sortie mainstream de l’an dernier (très injustement ignoré), on va laisser sa chance au produit ET au parfumeur : je ne connais rien de ce qu’il a fait jusqu’à maintenant, mais peut-être est-il le fils de JL Sieuzac, père d’Opium, Bel-Ami et Fahrenheit, devant lequel je m’incline bien bas ? ça joue aussi en sa faveur... ;-)

Vivement que cette nouveauté arrive, en priant pour une seconde excellente surprise, un an après la précédente !

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par euskalpyth, le 27 mars 2015 à 10:53

Bon, ben comme prévu, pas de coup de coeur :-(
Je l’ai testé hier au Marionnaud du coin, et :

- déjà, le flacon est celui, classique, du 1881 pour homme, que je trouve très large et peu ergonomique (pas agréable à la prise en main : ça n’a l’air de rien, mais ça compte...) et non celui du 1881 Bella notte qui est plus compact ;

- ensuite, le jus : on retrouve tout à fait ce dont parle Eléonore (coucou !) avec une tête très aromatique, mais trop pour moi... Je pense qu’il va plaire à ceux qui aiment cette fraîcheur verte, mais ça n’est pas mon truc. L’ouverture ne m’a pas donné envie de continuer l’aventure plus avant, et je n’ai donc pas patienté pour voir comment il se développe jusqu’au fond.

Je reste donc, sans aucun regret (et pour le plus grand plaisir de mon banquier ;-p) sur mon 1881 Belle notte, un magnifique épicé boisé ambré qui mérite d’ailleurs que tous ceux qui ne le connaissent pas lui donnent une seconde chance !

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par Jicky, le 27 mars 2015 à 18:49

Lucas Sieuzac a notamment signé le somptueux Jubilation 25 <3

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par Passacaille, le 27 mars 2015 à 19:58

Oh quand on lit "Jubilation 25, le chypre qui ignore que le chypre est mort" moi je dis faut sniffer de toute urgence !

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par Jicky, le 28 mars 2015 à 00:42

Houla oui, c’est un immanquable celui-ci ! (Même si, sur la longueur, il a tout autant un coffre d’oriental sec que le coffre d’un chypre : c’est sublime !)

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Silver

par Silver, le 22 mars 2015 à 21:42

J’ai hâte d’aller sentir ça ! La présentation me plait bien déjà !

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