Cologne

Cette Cologne, son mélange de notes très verte et son fond musqué propre finissent par donner sur moi une odeur... d’amande verte ! De celles dont je décortiquais l’écorce verte, fusante, pour en manger le fruit d’une blancheur immaculée. Cette véritable eau de toilette ainsi que son gel douche devrait être cryogénisé pour donner une idée aux générations futures de l’époque où on pouvait se rouler dans la pelouse avec des habits propres fraichement repassés. Un chef d’oeuvre de classique à dimension visionnaire.

Wouaaaahouuuuhhhh... C’est ce qui m’est venu à l’esprit quand j’ai testé cette Cologne aujourd’hui ! Et pourtant, je n’attendais pas grand chose de ce test, qui m’avait été proposé par Jicky !
Donc "Wouahou". La note verte et la fleur d’oranger ont, pour moi, fusionnées pour donner un petit grain très agréable. Les feuilles de citronnier froissées entre les doigts, un régal...
Ce parfum est très lumineux au départ. Vert et jaune sont bien les deux couleurs qui le qualifient. Très frais avec le citron. Et métallique c’est vrai, mais ca saute pas aux narines ! Puis ca chauffe, ca pétille !
Du blanc... un rien poudré, sensuel, doux. C’est aussi un peu savonneux. L’odeur qui s’étale sur la peau me donne un sensation de "déjà senti". La note verte est bien persistante, comme mêlée de métal. On a envie de s’étendre au soleil, sur une grande couverture blanche qui sent le propre !
Et en fond ? Serait-ce une note boisée ? Très discrète et blanche elle également.

Il FAUT que tu ailles tester La Cologne du 68 !!!

Viiiiiiiiite !!!!!

(quand à Chloé et à la Cologne, je considererais cela comme une simple faute de gout :p)

C’était mon test sur peau du jour ! J’ai trouvé un sephora entre chez moi et la bibliothèque, j’ai pas pu résister à y faire un saut. J’ai hésité avec la cologne du 68 dont la note d’amende m’a l’air T-E-R-R-I-B-L-E, mais je voulais tester le mugler depuis plus longtemps alors... Je saurai attendre.

Bref, je n’aime pas les colognes en général, mais celle là m’a plu de suite ! Ca commence avec des relents d’herbe fraichement coupée (vous avez dit madeleine de proust ?), très agréable, dominant un choeur faiblard d’agrumes et de fleur d’oranger. Très vite le T-shirt blanc séché au soleil fait son apparition, et à partir de là, ça ne bouge plus trop. Alors bon, je ronchonne : c’est vrai quoi, les détracteur de Chloé (*tousse-tousse*jicky*tousse-tousse) étaient les premier à crier à la lessive, alors que la cologne de Mugler...Eh bien, elle ne tourne qu’autour de ça (sans magnifique rose blanche pour accompagner les muscs...). Personnellement ça ne me dérange pas, j’aime bien, c’est frais et intéressant à porter, mais de là à en faire un parfum pour tous les jours je ne sais pas trop. Néanmoins, Mugler a le mérite de proposer une Cologne originale et décalée (très Mugler, quoi !), qui complète à merveille le reste de la gamme mainstream...

Je suis tombé en amour ! Voila, c’est dit ! He Dieu si j’eusse senti une telle création dans mon enfance ! Alors j’aurais moins de problèmes avec l’appellation Cologne (entre temps j’ai rencontré les eaux de Guerlain, les eaux d’Hermès et une belle amitié s’est épanouie).

Mais alors celle là ! Pfiou ! Elle en a du caractère. La petite note héspéridée hyper grinçante en tête, tu l’oublies ! Non, Cologne c’est d’abord une note verte très fusante à l’image de son flacon, alliée à la blancheur d’une fleur d’oranger délicate, très proche de l’huile essentiel de néroli, en moins agrume peut être. Puis l’évolution me fait penser à un champs d’herbe fraîche, très pure dans son ensemble avec une chemise blanche, humide étendue à sécher. Bref, l’image rêvée pour une Cologne. Bon ok c’est agréable, frais, sympathique, mais jusque là pas très innovant ! Or, le fond va évoluer vers quelque chose de beaucoup plus sensuel, charnel. Je vois qu’il y a des muscs, mais le tout du fond contraste vraiment par rapport à la tête et au coeur, tellement qu’on dirait un autre parfum. Or, on reconnait le concept du parfum ! Moi je sens comme la peau même d’un humain, propre, beau, assez hors contexte actuelle. Très futuriste.

Pour continuer le délire SF, on peut presque voir le fond comme une sorte d’ovni très bleu métallique, opposé au vert du départ. Puis de temps en temps, je sais pas si c’est mon nez qui bug (orthographe ?), mais je sens une petite facette boisée très légère, genre arbre à thé.

En fait, je l’adore : le concept, l’odeur, le style, l’originalité, même le flacon a quelque chose ! Bravo !

Vive l’odorat !

Nouvelle tentative avec Cologne hier. Au début, tout va bien. Une fraîcheur verte et croquante, végétale, douce voire enfantine. C’est ensuite que tout se gâte ; effectivement, une sensation métallique, tendance fer à repasser chaud, qui vire à l’acidité. Adieu fraîcheur, adieu bien-être. On est à la limite du supportable dans la chaleur de l’été. Ce parfum n’est définitivement pas fait pour ma peau. A l’instar de A*Men, que j’apprécie sur d’autres, mais qui me rend malade. Je retourne dès ce matin vers le délicieux Fleur du Mâle !

J’ai testé ce parfum hier : quelle découverte ! Je ne connaissais pas, et rien que le nom m’intriguait : Cologne, nom finalement très audacieux pour une eau de toilette !
1er contact, visuel d’abord : j’adore le flacon ! sobre, bien pensé, ce "rectangle" arrondi est superbe, comme un flacon d’eau de Cologne qui aurait décidé de se faire beau pour une soirée ! la couleur : attirante, ca m’évoque de l’herbe gorgé de lumière. 1er contact olfactif : de la fraicheur, beaucoup de fraicheur ! on n’en attend pas moins d’un parfum qui porte un nom pareil ! mais la suite ? parce que c’est sur la durée qu’on l’attend, si il se contente de l’aspect fraicheur, autant investir dans une véritable eau de Cologne de qualité. Et là, pas de déception : sur ma peau, la suite est très verte, toujours fraiche, mais l’aspect "agrume" s’est dissipé pour laisser place à quelque chose de très propre et de végétal. Effectivement, ce qui a été dit plus haut correspond tout à fait : du linge propre séchant au gré d’une légère brise, entouré par l’herbe fraichement coupé, un matin un peu frais, sous un soleil timide. Et la suite se fait encore plus discrète, mais toujours plus étonnante : l’émanation devient chaude, vraiment métallique comme ça a été dit, sans perdre ces notes de "vert", mais en les rendant délicieusement discrète, mais plus sophistiquées, et finalement très masculines pour un parfum unisexe.
Bref, que du bon, j’attend d’en avoir tester d’autres, mais celui ci est en bonne place pour l’instant pour devenir mon futur achat. Certes, il est très simple, peut etre trop pour certains, mais si l’objectif était de retranscrire dans une eau de toilette la fraicheur et l’accessibilité d’une eau de Cologne tout en lui donnant juste ce qu’il faut d’évolution, de tenacité et d’ambiguité pour en faire un vrai parfum, eh bien je trouve que c’est réussi !

Une cologne très agréable, avec un départ frais sans être trop acide effectivement, reste une senteur douce comme du talc de bébé, ça me rapelle un peu le fameux lait de toilette Klorane que j’achète depuis presque 20 ans, et qui malheureusement ne sent plus tout à fait pareil (victime d’une reformulation comme les parfums sans doute).

J’ai l’impression de sentir un "Petit Mugler" comme il existe un "Petit Guerlain" !

J’avoue donc avoir du mal à sentir une quelconque molécule "S" qui en ferait une eau de cologne sensuelle.

Elle m’évoque au contraire l’odeur de bébé, la quintessence du propre et frais, avec une odeur très, très discrète.

Une révélation et un coup de coeur pour moi !
J’ai découvert « cologne » avec un échantillon que j’ai vaporisé avec beaucoup de méfiance sur un kleenex (je n’apprécie pas du tout les eaux de cologne qui sentent la cocotte !) ... et là ... surprise !
Je ne m’attendais pas du tout a çà.
Les premières notes acidulées s’estompent très vite pour laisser place à un fond qui rappelle la pomme verte, le linge propre, les draps fraîchement repassés ou encore la sensation qu’on a en ouvrant une fenêtre au petit matin lorsque la première bouffée d’air frais s’engouffre dans la pièce. Peut être aussi inconsciemment des souvenirs (olfactifs) d’enfance (lessive, savon)
Bref une réussite pour cette « cologne » qui sait se faire oublier (les mouches ne tomberont pas dans votre sillage) tout en restant imprégnée à fleur de peau, en laissant une impression de fraîcheur et de propreté.
Un eau de toilette mixte et si discrète qu’elle rappelle plus l’odeur du savon ou d’un gel douche sur la peau juste après la toilette, que celle d’un parfum/eau de toilette. Peut être un défaut de tenue pour certains, mais plutôt une qualité selon moi.

« Cologne » est peut être l’eau de toilette à mettre ... quand on ne veut pas en mettre !

Merci Etiennesuper pour votre soutien à ce parfum qui n’a effectivement pas le succés qu’il mérite. Je suis d’accord avec vous pour dire que la pub de Mugler n’était pas ce qu’il y avait de mieux pour attirer le client, un gros flacon vert, sans spray, pour homme et femme, avec un extraterrestre comme égérie, on a fait mieux pour vendre ! Il n’y a qu’à voir le nombre de parfums qui s’en inspirent pour constater qu’il y avait là du potentiel : Emporio White for her, Eau de Shiso de Roger&Gallet, Allure Cologne Sport, Escale à Portofino, Comme des Garçons Série 8 Energie Grapefruit .. et ce n’est sûrement pas fini !