Le parfum fait son cinéma
par Aristide, le 24 octobre 2019
Revu hier soir un parfait chasse-spleen automnal : The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Comment avais-je pu oublier L’Air de Panache ? Beaucoup plus qu’un accessoire de dandy : l’identité même du divin Monsieur Gustave, concierge dévoué corps (!) et âme à "son" hôtel. Mais aussi fragrance initiatique portée par les membres de la Society of the Crossed Keys, au point de sceller l’adoubement de l’impayable Zero Mustapha. Il y a bien un peu de Cyrano dans cet "Air de Panache" : la frime, la tchatche, le refus du tragique, le courage aussi face à la bêtise brute. Une excellente définition du parfum, en somme : toujours léger, jamais futile.
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à la une
Tutti Twilly - Hermès
Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
en ce moment
il y a 23 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
hier
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
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