Un parfum, au bon moment, au bon endroit.
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 16 heures
Et justement... Je ne sais pas ce qu’elle est devenue. J’aurais voulu l’essayer bien(…)
il y a 21 heures
Bonjour DOMfromBE, Je me demandais justement ce que valait l’Eau d’Hermès actuelle. L’avez-vous(…)
hier
Je n’ai pas encore eu l’occasion de me faire une impression des créations Oriza Legrand, même si(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je passe aussi beaucoup de temps à choisir mon parfum pour aller au cinéma. Parce que souvent il en faut pour surmonter les salles jonchées de pop corn où le public précédent a dégorgé pendant quelques heures.
Dzing restera à tout jamais associé à Avatar. Car surprise au début du film, je sens le fauve et le musc. J’ai d’abord pensé qu’ils parfumaient les salles, et j’ai adoré l’ambiance, avant de comprendre à la sortie que je m’étais assis sur un échantillon de Dzing qui avait éclaté.
Un beau moment en allant voir le film de Tom Ford, en aventurier explorateur des aldéhydés territoire inconnu pour moi, je portais Le Dix en extrait vintage. Il y a une scène, la seule que j’ai retenu du film à peu près. Colin Firth s’arrête à l’entrée d’un bureau, silencieux, il hume discrètement l’air devant une secrétaire sixties un peu gênée, et il murmure : Arpège ! Ca collait parfaitement avec Le Dix !
Sinon dans les anecdotes dingues qui mettent un peu de magic dans ma vie. La semaine dernière une dame entre dans la magasin ou je travaille et demande à voir le responsable (moi). Et là elle me raconte qu’elle est déjà venue l’année dernière à la même époque et que je sentais très bon et elle voulait savoir ce que je portais ce jour là pour l’acheter. (!???)
Je précise que je ne vends pas de parfum. Et que j’étais bien embêté pour lui répondre ! J’ai déjà du mal à me souvenir de ce que je portais la semaine dernière, alors il y a un an, c’était mission impossible. Mais je l’ai quand même orienté vers ce que je porterai si je devais mettre les pieds dans un Séphora. (Midnight in Paris)
Voilà. Tout de suite après Marianne James, immense et toute en chevelure, est entrée et s’est mise à hululer genre cantatrice en disant que non elle ne devait pas et que j’étais un salopard de vendre des choses pareilles. (c’est-à-dire des choses qui donnent beaucoup de plaisir mais qui parait-il vont directement dans les fesses des dames ;))
Quelle vie !