Le parfum comme oeuvre de l’esprit ? Pas pour 2014 !
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 7 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 15 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je vous rejoins à 200% et je ne trouve pas votre commentaire hors sujet, bien au contraire...
A l’école, on éduque bien évidemment la vue, on apprend les couleurs, les formes etc...
On éduque l’ouïe, quoiqu’un peu moins bien, à travers la musique, les langues...
Tout petit on apprend à reconnaître par le toucher les textures (ma fille a quantité de livres avec des trucs mous, durs, rugueux, doux...)
Restent le goût et l’odorat, qui sont liés. On va dire qu’à la cantine on apprend basiquement le goût.
Maintenant quid de l’odorat ? Combien d’heures dans les programmes scolaires ? Combien de mots dédiés dans notre langage ???
Et sans éducation, sans langage, comment parler, reconnaître, critiquer, comme on peut le faire d’autres oeuvre d’art ? Bien sûr qu’une formule est un élément fort, identifiable, différentiable. Mais ce n’est pas ça l’oeuvre.
Au-delà de faire reconnaitre le métier de parfumeur comme un vrai métier artistique, ce qui est une évidence aux yeux des quelques intéressés par le domaine, il faudrait éduquer en masse nos enfants au monde de l’odorat.
En attendant, je le fais avec la mienne. ;-)