Cuir d’Ange : à défaut de sexe, les anges auraient une odeur
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 3 minutes
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il y a 4 heures
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il y a 21 heures
Je n’ai pas encore eu l’occasion de me faire une impression des créations Oriza Legrand, même si(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
"Je me souviens l’atelier de mon père. Je ne peux pas passer devant un échoppe de cordonnier sans croire que mon père est encore vivant, quelque part au-delà du monde, assis devant une table de fumée, avec son tablier bleu, son tranchet, ses ligneuls, ses alênes, en train de faire des souliers en cuir d’ange pour quelque dieu à mille pieds"
C’est le passage issus de Jean le Bleu de Giono dont Ellena s’est inspiré pour cette création.
Que l’on n’aime pas le nom, je peux concevoir (c’est vrai que pris isolement, il paraît moins puissant). En revanche, dire qu’il est ridicule alors qu’il témoigne d’une véritable recherche culturelle transcrite dans l’univers du parfum, et promeut donc directement la parfumerie comme étant un moyen d’expression artistique à l’égal de la littérature, ne me semble pas être de la première pertinence... Quant à l’appartenance à un esprit maison, je pense qu’il y a pire : c’est un cuir. En comparaison à un Vétiver Tonka qui est un nom assez niaiseux et qui n’a rien de particulièrement Hermès, je pense quand même que Cuir d’Ange a sa légitimité...