Arabie
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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Bonsoir Doblis.
Il y a des parfums que l’on aime suffisamment pour apprécier les sentir régulièrement mais pas assez pour les aimer sur soi.
À propos de la proximité entre Arabie et Femme, lorsqu’on la détecte, elle est assez inratable. Mais, attention, la ressemblance existe surtout dans la version d’Olivier Cresp, la version de Femme caricaturée en "femme des années 80" avec son overdose de cumin pour la tonitruance requise à l’époque. ;-)
Quoique, d’ailleurs, cela ne soit pas forcément vrai. Je vais vous raconter une anecdote. Hier soir, Newyorker a vaporisé une version de Femme vintage dans un restaurant ; une personne a cru à un parfum de niche contemporain au cumin, et Jicky et moi avons pensé à Arabie, du fait pour moi qu’il était bien présent à mon esprit puisque je l’ai porté samedi dernier. Les fruits confits presque gourmands et les épices étaient là. Et, pourtant, c’était Femme, dans la version de Roudnitska en plus, et non celle de la reformulation de 89...
Nommez un parfum "Arabie" et vous penserez à un tajine et aux mets de la table orientaux. Intitulez-le "Femme" et vous obtiendrez des évocations plus proprement sensuelles.
Le contexte joue beaucoup !, parole de psychologue environnementaliste. ;-)
À bientôt.
Opium