Jean-Paul Guerlain le retour, pour My Exclusive Collection
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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il y a 23 heures
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Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Soirée de lancement dans un hôtel chic sur la place d’arme à Versailles, avec vue sur le château.
Mon dieu, mon dieu, mon dieu...
Du costume, du foulard en soie, du jersey, de vieilles perles, des robes noires (petites, toutes petites, un peu trop petites ?) du fard qui fond et du rouge à lèvres racoleur, de tout en somme.
Le monde de la parfumerie est rare, plutôt des amis de cercle d’équitation ou de bridge. Heureusement il y a quelques étudiants parfumeurs. Il faut dire qu’au même moment une conférence de l’Osmothèque parle du santal, où l’on trouve d’ailleurs Thierry Wasser parmi les auditeurs...
Et sinon les parfums ?
Je vous laisse juges du flaconnage, la couleur des jus donne une première impression très mitigée. Soulevons donc les entonnoirs imprégnés des senteurs du "plus grand nez vivant" Elles sont cinq :
1. Un floral, lilas, muguet, jacinthe, musqué, nul
2. Une rose, mon dieu, défigurée comme j’ai rarement senti ça !! Une soupe de fruits, oh pas sucrée heureusement mais atroce.
3. Un oriental hyper vert, fusant (oh mais c’est un Tom Ford, Vert d’encens ???)
4. Un œillet noyé dans la vanille, ultra musqué.
5. Un oriental oudé, avec une bonne louche de bois-qui-piquent (Monsieur Guerlain a travaillé ses matières premières pendant sa retraite et est bien à jour sur les nouveautés, faut pas croire !)
Étrangement aucun nom.
Bon tout ça très très très déprimant, au moment où un monsieur chauve et élégant comme un videur de boite à camping a hurlé l’introduction de papi Guerlain, je me suis éclipsé, en bousculant des vieilles dames décaties et des jeunes filles au look tapageur, roses flétries et gisquettes à talons...
Peut-être que les noms des senteurs mirifiques allaient-êtres dévoilées à l’issue de la cérémonie mais à quoi bon ???
Tout cela est bien triste et compte pour rien, néant, peanuts dans l’histoire de la parfumerie.