Nuit de Bakélite
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 7 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 15 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
(suite)
Merci à tous pour votre soutien salvateur à ce coup de gueule :).
Je précise que la critique olfactive de Jicky n’est bien sûr pas en cause , il est tout entier à sa passion et c’est tout à son honneur.
Mais ayant presque 50 printemps j’ai sans doute bcp de points de comparaison et de références qui me font dire qu’il y a quelque chose de pourri au royaume du parfum.
N’est ce pas paradoxal :plus les parfums sont chimiques, moins il y a de matières naturelles rares et chères, plus les coûts de production baissent, et plus les parfums sont chers.
Ce délire des prix m interroge beaucoup sur la transmission des valeurs, le goût de l’authentique, la rationalité, et plus généralement sur la perte du bon sens.
Vais-je dépenser 250 euros sans sourciller sous prétexte que je le peux ? Non. Ce n’est pas comme ça que j’élève mes fils. Solide bon sens de Normande, la tête sur les épaules et les pieds sur terre.
Mais 2500 euros le litre : cela m’interpelle.
Je ne peux que féliciter Cartier pour sa belle panthère abordable, qui prouve ainsi qu’on peut faire du beau à prix raisonnable et que le mauvais goût de la masse n’est bien souvent qu’un choix relatif conditionné par une contrainte budgétaire.
Et quant à Yves Rocher, en Avril un Soir était sublime :)