Acheter des échantillons de parfums dans le métro, c’est pour demain !
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 13 heures
Je n’ai pas encore eu l’occasion de me faire une impression des créations Oriza Legrand, même si(…)
il y a 16 heures
Oui, oui, comme beaucoup de belles créations devenues inintéressantes du fait de plusieurs(…)
il y a 16 heures
Bonjour Sauf erreur de ma part, L’Auréole a célébré le 50e anniversaire de cette petite merveille(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
(pardon de ressusciter un poste d’il y a 2 ans)
Mauvaise expérience rue Cambon ?
J’avance une hypothèse : peut-être qu’il manquait un conseiller formé en parfums à l’horaire où vous êtes passée ?
Les conseillers cherchent alors à dissimuler leur gène. Chez certains ça se traduit par une attitude passive agressive, voire du mépris, comme vous en avez fait l’expérience. Eux aussi ont peur de perdre la face, et parfois ils montent sur leurs grands chevaux, quand ils n’y connaissent rien en parfum. Ça ne les excuse pas.
Mais dans l’ensemble, j’ai plutôt été très positivement surpris par l’accueil qu’on me réservait dans ces endroits. Tacitement, on comprend que les gens y sont formés 1° pour ne pas faire de délit de faciès, 2° mais également pour que quelqu’un qui n’achète pas ressorte avec un bon "bouche à oreille".
Car les flagship store assurent aussi une mission de représentation. Ce sont des "marques aspirationnelles". Si vous n’avez pas l’argent, vous l’aurez peut-être un jour, en attendant vous achèterez d’autres produits de la marque : fards à paupière, rouge à lèvre, en boutique mainstream.
Mais ça reste la tombola, ça dépend de la personne en face.
Boutique Chanel rue Montaigne, je suis tombé sur une vendeuse qui adoraient ses parfums, et j’ai passé un moment génial. Les clients défilaient dans la boutique, mais snobaient les parfums, c’est triste mais la plupart ne viennent pas pour ça.
Le temps est quand même révolu, où les parfums étaient sur une étagère derrière un comptoir, pour forcer à parler à un vendeur.
Avec le temps on relativise et on en rit. Exemple : Cartier n’avait pas formé ses vendeurs en joaillerie quand il a sorti sa très belle ligne exclusive.
Parfois c’est l’inverse, on a une marque qui ne vend que du parfum comme Caron, on est dans une boutique à eux, et on tombe sur une conseillère confirmée qui ne dit que des bêtises. C’est épouvantable.
Mais il reste un effet tombola, tout dépend sur quel conseiller on tombe.