Experimentum crucis
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En écho au dossier du seizième numéro de Nez, la revue olfactive, cette table ronde réunissant Eugénie Briot, Delphine Jelk et Sonia Constant explore les liens entre la couture et les odeurs.
il y a 18 heures
Bonsoir Petrichor et merci pour ce commentaire si riche. Cela faisait un moment que j’entendais(…)
il y a 18 heures
Bonjour Don Salluste :) Je joue aussi à poser la question : "Est-ce que "Le parfum de Thérèse"(…)
hier
À vous lire c’est Plutôt un Parfum féminin donc et non mixte ?
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je l’essaie enfin – ma première impression, durable, est celle de La Fille de Berlin après l’amour. Autant je ne suis pas toujours impressionnée par les rodomontades polissonnes de la marque dont les titres crâneurs ne sont pas systématiquement suivis d’effets, autant j’ai été agréablement surprise. C’est pour moi une version plus chaude et mature de L’Eau de Protection, à laquelle j’ai toujours préférée Rose Poivrée de The Different Company, très belle rose humide de sueur, et dont je retrouve ici le cumin.
En ce qui me concerne, malheureusement, passée les premiers moments et le plaisir de mordre dans ces fruits à peine sucrés de miel, plus grand-chose, comme de coutume avec État Libre d’Orange et moi. Elle aura vécu ce que vivent les roses, etc. Il est vrai que je n’aime guère les notes métalliques et que je préfère mes roses sombrement épanouies, d’un rouge profond, sans rechercher fraîcheur ni, très franchement, délicatesse ; mais il n’y a pas que ça. Je trouve les ELdO toujours trop discrets !