Auparfum

Le parfum fait son cinéma

24 octobre 2019, 06:57, par Aristide

Revu hier soir un parfait chasse-spleen automnal : The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Comment avais-je pu oublier L’Air de Panache ? Beaucoup plus qu’un accessoire de dandy : l’identité même du divin Monsieur Gustave, concierge dévoué corps (!) et âme à "son" hôtel. Mais aussi fragrance initiatique portée par les membres de la Society of the Crossed Keys, au point de sceller l’adoubement de l’impayable Zero Mustapha. Il y a bien un peu de Cyrano dans cet "Air de Panache" : la frime, la tchatche, le refus du tragique, le courage aussi face à la bêtise brute. Une excellente définition du parfum, en somme : toujours léger, jamais futile.

Signaler un abus

Vous devez être connecté pour signaler un abus.

à la une

Tutti Twilly

Tutti Twilly - Hermès

Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !

en ce moment

Des Esseintes a commenté Cornaline

il y a 22 heures

Avis aux amatrices et aux amateurs d’Anatole Lebreton : il reste encore quelques rares flacons(…)

hier

Bonjour Adina, bonjour à tous, Oups ! Pardon pour la confusion. Une vingtaine d’années séparent(…)

il y a 2 jours

Bonsoir Farnesiano, Bonsoir à tous, Vous faîtes référence à la pomme de Nina Ricci. Celle-ci est(…)

Dernières critiques

Iris Médicis intense - Nicolaï

Sous le soleil de Toscane

Encre indigo - Lalique

Roche en fusion

Belle de Niassa - Caron

Fleur au zénith

Avec le soutien de nos grands partenaires