Le parfum fait son cinéma
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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Avis aux amatrices et aux amateurs d’Anatole Lebreton : il reste encore quelques rares flacons(…)
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Bonjour Adina, bonjour à tous, Oups ! Pardon pour la confusion. Une vingtaine d’années séparent(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Farnesiano, Bonsoir à tous, Vous faîtes référence à la pomme de Nina Ricci. Celle-ci est(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Revu hier soir un parfait chasse-spleen automnal : The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Comment avais-je pu oublier L’Air de Panache ? Beaucoup plus qu’un accessoire de dandy : l’identité même du divin Monsieur Gustave, concierge dévoué corps (!) et âme à "son" hôtel. Mais aussi fragrance initiatique portée par les membres de la Society of the Crossed Keys, au point de sceller l’adoubement de l’impayable Zero Mustapha. Il y a bien un peu de Cyrano dans cet "Air de Panache" : la frime, la tchatche, le refus du tragique, le courage aussi face à la bêtise brute. Une excellente définition du parfum, en somme : toujours léger, jamais futile.